Zusammenfassung
Es wurden 347 Patienten mit 360 Untersuchungen einer statistischen Auswertung unterzogen, um eine Bewertung der Radioisotopenmethoden im Vergleich mit den herkömmlichen diagnostischen Verfahren in der Beurteilung von Nierenerkrankungen vornehmen zu können. Wir haben das gesamte Untersuchungsgut in 8 Krankheitsgruppen unterteilt, um die Aussagefähigkeit der Radioisotopenmethoden bei verschiedenen Nierenerkrankungen im Vergleich mit den üblichen Verfahren bewerten zu können.
Bei 360 Untersuchungen fanden wir nur in 24% eine Übereinstimmung der nuklearmedizinischen Befunde mit den übrigen röntgenologischen und klinischen Ergebnissen. Einen Vergleich mit der Nierenangiographie haben wir nicht angestellt.
In 76% ergaben die Radioisotopenverfahren zusätzliche, für die Beurteilung des Nierenleidens wichtige Aussagen.
Eine eindeutige Überlegenheit von RNG und NSZ fanden wir bei renalen Hochdruckerkrankungen, bei Hydronephrosen und raumfordernden Prozessen. Bei letzteren sind die Ergebnisse des NSZ deswegen besonders hoch einzuschätzen, weil das Vorliegen eines solchen raumfordernden Prozesses direkt sichtbar gemacht werden kann.
Erst durch die enge Zusammenarbeit von Nephrologen und Nuklearmedizinern gewinnen die Radioisotopenverfahren an Wert. Die Ableitung einer Diagnose aus dem RNG und NSZ ohne Berücksichtigung der anderen Ergebnisse und ohne Kenntnis der pathophysiologischen Vorgänge führt leicht zu Fehlbeurteilungen.
Summary
The results of 360 studies in 347 patients were evaluated statistically to permit a comparison between radioisotope techniques and conventional diagnostic methods in the evaluation of renal disease. The patients were divided into eight disease groups.
In only 24% of the 360 studies the radioisotope findings agreed with the results of other radiological and clinical studies. A comparison with results of renal angiography was not made.
In 76% the radioisotope studies provided additional results which were important for the evaluation of the renal disease. The superiority of the renogram and the renal scan was particularly significant in cases of renal hypertension, hydronephrosis and space-occupying lesions. In the latter case, the results of the renal scan are particularly valuable because the presence of a space-occupying lesion can be visualized directly.
Close co-operation between nephrologists and experts in nuclear medicine further increases the value of radioisotope methods. The establishment of a diagnosis from the renographic and scintigraphic results without reference to the results of other methods and without knowledge of the pathophysiological mechanisms involved can easily lead to misinterpretations.
Résumé
360 examens faits sur 347 malades ont été soumis à une exploitation statistique, afin de pouvoir comparer la valeur des méthodes radio-isotopiques avec celle des méthodes de diagnostic habituelles pour l’appréciation des affections rénales. Nous avons divisé l’ensemble des observations en 8 groupes de maladies, afin de pouvoir comparer les réponses pouvant être données par les méthodes des radio-isotopes dans les différentes affections du rein avec les procédés habituels.
Sur les 360 examens nous n’avons trouvé que dans 24 pour cent une concordance des résultats obtenus par l’emploi médical des radioéléments avec les autres résultats radiologiques et cliniques. Nous n’avons pas fait de comparaison avec l’angiographie rénale.
Dans 76% des examens les méthodes des radioisotopes ont donné des résponses complémentaires et intéressantes pour l’appréciation d’une affection rénale.
Nous avons constaté une supériorité manifeste du néphrogramme isotopique et de la scintigraphie dans les hypertensions artérielles d’origine rénale, dans les hydronéphroses et dans les processus expansifs. Dans ces derniers, les résultats de la scintigraphie sont particulièrement appréciés, parce que la présence d’un tel processus expansif devient directement visible.
Les méthodes des radio-isotopes peuvent gagner en importance seulement par une collaboration étroite entre néphrologues et médecins spécialistes des radioéléments. Vouloir déduire un diagnostic d’un néphrogramme isotopique et d’un scintigramme sans tenir compte des autres données et sans connaître les phénomènes physio-pathologiques peut facilement conduire à des erreurs d’appréciation.